1. |
Notre beau trésor
03:31
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Notre beau trésor
On a trouvé un trésor
Qui était là au fond du fjord
Comme la plus belle des histoires
Notre saison en quatuor
On l’a ouvert un soir
Sous la pleine lune d’or
Dans nos regards phosphores
Notre amour, notre étendard
On brille ensemble
On s’invente le monde
On trafique les secondes
Comme bon nous semble
On a grandi sans même le voir
Dans l’infini de nos mémoires
Sur une mélodie pleine d’espoir
Notre symphonie sans auditoire
Avant de partir avec la mort
On se souderait les os du corps
On se ferait l’amour jusqu’à l’aurore
On se souvient notre beau trésor
On brille ensemble
On s’invente le monde
On trafique les secondes
Comme bon nous semble
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2. |
Ma météore
05:13
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Ma météore
Ce soir, j’ai vu la lune
Briller dans tes yeux
L’amour me prendre au cœur
Comme un feu
La nuit était si belle
Ou c’était toi mon septième ciel
Novembre vermeil
Dans la nuit de tes merveilles
Je t’aime si fort
Un jour je te dirai
Ce monde qui a grandi en moi
Cette lumière que j’ai trouvée en toi
Cette lumière
Ici, sans toi, dans le noir
Je rêve de toi, ma météore
Je t’aime si fort
Un jour je te dirai
Ce monde qui a grandi en moi
Cette lumière que j’ai trouvée en toi
Cette lumière
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3. |
Les nuits incandescentes
04:08
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Les nuits incandescentes
Dehors, il fait si froid
Des corps volent en éclats
Encore quelque part
L’aurore reviendra
Ensemble nous éclairons le monde
Même si ce n’est que pour une seule seconde
Rêvant, nous écrivons les jours
Et les nuits incandescentes
Devant nous, juste là
Et pourtant on ne le voit pas
L’amour éteint les feux de l’enfer
Qui brulent en nous
Comment tout dire à la fois
Quand je n’ai qu’une seule voix
L’amour éteint les feux de l’enfer
Qui brulent en nous
Ensemble nous éclairons le monde
Même si ce n’est que pour une seule seconde
Rêvant, nous écrivons les jours
Et les nuits incandescentes
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4. |
Là où l'air est si léger
04:28
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Là où l’air est si léger
Demain, j’irai
Sans trop chercher
Enfin libéré
Des murs du passé
Là où l’air est si léger
Par le vent porté
Là où l’air est si léger
Par le vent porté
Au matin, je naitrai
Nos printemps chantés
Le refrain, ta beauté
Le cœur soulevé
Là où l’air est si léger
Par le vent porté
Là où l’air est si léger
Par le vent porté
Au bout du monde
Ici, des voix célestes
S’élèvent dans une symphonie
Un nouveau jour se lève
Sur le long brouillard
De trop de décennies
À s’arracher la chair
La lueur de la vie qui scintille
Au fond des yeux noircis
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5. |
Dans tes bras
04:00
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Dans tes bras
Ici, d’aussi loin, d’où je viens
J’ai suivi mon cœur, mon chemin
Ma vie a grandi dans tes mains
Une lueur, encore, brille ce matin
Et même s’il y a la pluie
Le vent qui parle aux ouragans
La terre qui tremble et rugit
Dans les entrailles des volcans
Le silence qui précède le tsunami
Je resterai là blotti dans tes bras
Depuis ce jour, aujourd’hui
Depuis le ciel s’est éclairci
Tu es la seule étoile de mes nuits
Et mon rêve est devenu galaxie
Et même s’il y a la pluie
Le vent qui parle aux ouragans
La terre qui tremble et rugit
Dans les entrailles des volcans
Je resterai là blotti dans tes bras
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6. |
Selsila
04:09
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Une seule lueur
Dans la noirceur
Veille sur mon cœur
Ta lumière
Nos vies en fleurs
Fresque de couleurs
Reine des rivières
Toi, ma lumière
Selsila
Tes bras foliaires
Tes pôles lunaires
Équilibrent ma terre
Toi, ma lumière
Tes yeux m’éclairent
Me font voir l’univers
Le plus grand, le plus beau
Le plus vrai, le plus merveilleux
Moi, je rêve de nous deux
Selsila
Tu as dû fuir
Un monde en guerre
Avec ton amour
Ta lumière
Une étoile si belle
Comme éternelle
Elle me fait croire qu’un jour
Nous pourrions briller ensemble
Dans l’universel
Selsila
Comme une lueur
Dans la noirceur
Veille sur mon cœur
Ta lumière
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7. |
Aujourd'hui
06:14
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Aujourd’hui
Tu es maintenant partie
Comme le soleil, la nuit
Dans un éclair, ébloui
Et le tonnerre, mon cri
Tu es encore ici
Tu es toute ma vie
Une seconde, l’infini
Et sombrons dans l’oubli
Tu es mon désert, ma pluie
Mon cœur, un incendie
L’étranger que je suis
Aujourd’hui
Tu es ma belle noirceur
Le grand vide des heures
Mon vertige des grandeurs
L’inconnu, la peur
Tu n’es plus qu’une abstraction
L’hologramme de mes fictions
Dans un monde de fraction
Où je perds la raison
Tu es mon désert, ma pluie
Mon cœur, un incendie
L’étranger que je suis
Aujourd’hui
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8. |
Ce qu'il reste de moi
04:31
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Ce qu’il reste de moi
J’ai le cœur à l’est
L’amour céleste
L’encre et les racines
Dans la ceinture de feu
J’ai la soif du pacifique
Mon rêve idyllique
Coule sur tes obliques
Ton corps est une île volcanique
Mon ciel sans étoiles
Se rallume pour faire briller
Cette lueur au fond de tes yeux
Ce qu’il reste de moi
J’ai la flamme, l’ivresse
Pour ma seule déesse
Les champs de l’Indochine
Où des milliers de lucioles s’illuminent
J’ai la soif du pacifique
Mon rêve idyllique
Coule sur tes obliques
Ton corps est une île volcanique
Mon ciel sans étoiles
Se rallume pour faire briller
Cette lueur au fond de tes yeux
Ce qu’il reste de moi
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9. |
Pour cette fois
04:18
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Pour cette fois
On tient la vie
Au bout des doigts
Si fragile, elle fuit
Si on ne la retient pas
On rit, on pleure
Pour cette fois
On vit, on meurt
Une autre fois
On écoute la pluie
Courir sur les toits
Tout s’arrête ici
Le temps passe pour cette fois
On rit, on pleure
Pour cette fois
On vit, on meurt
Une autre fois
Des âmes qui incarnent l'émergence
D’un monde en pleine renaissance
Peu importe combien de missiles
Tombent sur nos têtes
Nos cœurs s’enracinent plus fort
Les fleurs repoussent même dans la mort
La paix gagne toujours contre la violence
Nos cœurs s’enracinent plus fort
Les fleurs repoussent même dans la mort
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10. |
Quelques lueurs
04:00
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Quelques lueurs
Un vieil homme
Porte le monde
À bout de bras
Et comme une ombre
De plus en plus longue
Il étire le pas
Des yeux brillent à travers la noirceur
Des lieux où s’inventer quelques lueurs
Des feux pour se tenir loin des enfers
Loin des grands froids de l’hiver
Une vieille femme
Berce le monde
Au creux du bras
Comme un enfant
Se sentir si grand
À l’écart du temps
Des yeux brillent à travers la noirceur
Des lieux où s’inventer quelques lueurs
Des feux pour se tenir loin des enfers
Loin des grands froids de l’hiver
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11. |
Notre terre qui était
05:57
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Notre terre qui était
Sorti d’un rêve où tout était parfait
Les couleurs se mêlaient à la lumière
L’amour se croyait pour l’univers
À l’abri des jours sans l’ombre d’un reflet
Même la noirceur brillait au fond de tes yeux
Un soleil se levait sur notre terre qui était
Mon monde est à l’envers
Je retombe sur terre
Mon cœur et des poussières
S’allongent mes déserts
J’ai grandi dans tes bras
Comme un arbre à la fois
Ma forêt sacrée, mon palais
De fougères et de fleurs
Qui suivaient nos pas
J’ai vieilli soudain
La seconde de ma vie
Passée en une seule nuit
Sans faire de bruit
Les yeux tournés vers toi
Mon monde est à l’envers
Je retombe sur terre
Mon cœur est de poussière
S’allongent mes déserts
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12. |
Mon rêve est à toi
04:45
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Mon rêve est à toi
Ce rêve se vit pour l’éternité
Sur terre s’écrit ce jour de liberté
Emmène-moi au bout
Des lignes et lois, de nous
Enracine-moi au cœur
Des forêts de verglas
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
Ce rêve se vit pour l’éternité
Sur terre s’écrie ce jour de liberté
Emmène-moi au bout
Des lignes et lois, de nous
Enracine-moi au cœur
Des forêts de verglas
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
Mon rêve est à toi
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Vincent Alizé Sherbrooke, Québec
Vincent Alizé propose des chansons enracinées entre le réel et l'imaginaire. Un tableau intime où se révèlent des sonorités folk-orchestral envoutantes.
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